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25 août 2015 2 25 /08 /août /2015 06:50
Tranche de vie 3 : Une semaine au domaine du lac bleu

Une semaine au Domaine du lac bleu

Je suis partie de reculons. J'avais peur de tout. L'heure des repas, j'ai des lèves tôt, mais les déjeuner ne sont qu'à 8h. C'était censé être une semaine en famille, ou en couple, et les horaires d'activité m’énervaient un peu. De 9h30 à 11h30, de 13h30 à 15h. De 15h à 17h et de 19h à 20h. J'étais un peu inquiète de devoir aller chercher les enfants, les ramener à leur activité, et ainsi de suite. Je me voyais déjà courir d’un côté a l’autre pour aller les chercher, les faire manger puis les ramener et ce à l’infini.

Ensuite, ce fut l'heure du coucher qui me stressait. Que des lits simples, avec en prime qu'une seule chambre pour les enfants et une pour la nôtre. Tout ça, a fait de mon départ de la maison, un enfer.

Finalement, nous avons été accueillis dans un camp blanc et bleu, petit, douillet. Notre animatrice principale, nommée Kirikou, nous as accueillie avec un sourire et nous as dirigé a l'accueil, pour prendre nos clés et inscrire nos enfants au club enfant. Une fois le tout fait, nous nous sommes installés dans de très petite chambre, puis nous sommes sorties découvrir le terrain.

C'est un petit domaine, mais parfait. Il n'y a personne d'autre sur le domaine que ceux qui y viennent passer la semaine. Il y a un lac, cinq maisonnettes et une quinzaine de chambre. La capacité totale est de 90 personnes, enfants inclus.

Cette semaine, nous sommes trente, environ 6 familles. Ce qui est merveilleux. Nous avons les animateurs pour nous, nous pouvons choisir ce que nous voulons faire. Les enfants sont séparer par groupe d’âge, ils font des activités adapté à leur envie. Et nous les parents? Nous faisons ce que nous voulons. Hier, nous avons été en pédalo sur le lac, deux fois, nous avons joué au missipi, a la pétanque, nous nous sommes promenés. En fin d'après-midi, alors que nous étions en pédalo pour la deuxième fois, nous avons amené nos enfants. Ce qui est bien, c'est que nous pouvons choisir, tout comme eux, si ils vont aux activités, ou si ils viennent avec nous. Ca été du pur plaisir.

La première nuit, c'est globalement bien passer. Une fois les enfants couchés, nous sommes descendu jouer au carte avec les autres parents jusqu'à minuit! Et pour les repas, comment dire? Bien que les horaires soient éloignés l'une de l'autre, la quantité est suffisante pour ne pas avoir faim. Bien équilibrer et en bonne quantité, nous n'avons pas faim. Les collations que j'ai apportées sont encore dans le sac d'épicerie. Je n'en ai pas besoin. Et en plus c'est tellement bon!!

La deuxième journée de pluie, bien que froide fut entièrement occuper de jeux de tout de sorte. Je n’ai pas pu suivre les enfants pour le savoir, mais pour les avoir entendu rire, je crois que le plaisir y était.

Commencer un article sur place et le terminer à la maison, le rend un peu bizarre, j’en suis consciente! Je vais continuer en parlant au passé.

Le mardi était pluvieux et froid, mais rien n’empêche que les enfants ce sont amuser. En fin d’après-midi, nous avons eu droit au soleil! Ce qui a fait sortir tous les enfants qui ont joué dehors. A la trampoline et ont sauter dans le lac. Le mercredi et les jours qui ont suivi, se ressemblait tous autant qu’ils étaient différent. Le même horaire, mais des jeux différents. Nous avons refait le plein d’énergie. Nous nous sommes amusés et reposer, tous en profitant du soleil et de la nature.

Pas une fois mes enfants m’ont demandé la télévision ou quoi qu’ils aillent abandonnés à la maison.

Nous étions à peine rentrés, qu’ils demandaient à y retourner.

Aujourd’hui, donc, nous y retournons pour la journée!

Je ne vous en dis pas plus.

Aller découvrir le domaine du lac bleu!

Bonne journée!

Luna

P.S Pardon de mon absence, j'ai eut quelque problème avec mon ordinateur!

Maintenant réparer, je suis de retour

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11 août 2015 2 11 /08 /août /2015 08:00
Maman = Sacrifice?

Être parent, c'est donner tous ce qu'on possède a nos enfants, même nos collations qu'on se prend en cachette. C'est donner nos heures de sommeil, sacrifier nos nuits pour bercer nos bébé, dans mon cas, même partager mon lit avec mon petit camionneur qui vient se blottir dans mes bras chaque nuit. C'est se lever le matin et faire leur déjeuner avant même d'avoir été au toilette, s'est se tortiller devant le grille pain parce que l'envie est pressante. Mais leur estomac demande a manger la. C'est se lever en moins d'une minute parce qu'ils ne tiennent plus. Fini de prendre le temps de s'ouvrir graduellement les yeux, on s'étire devant le grille pain entre deux toast. C'est aussi terminer d'aller au toilette seule, peu importe pour y faire quoi, ils ont toujours quelque chose d'important a nous dire a ce moment la, même dans le jargon de bébé qui ne parle pas tout a fait bien encore.


C'est aussi terminer de manger chaud. Il fat servir les enfants en premier et plus nous en avons, plus le temps est long avant qu'on s'installe pour manger. Puis une fois assis, le premier a terminer, alors il faut se relever, lui nettoyer la bouche, lui donner de l'eau, lui dire d'attendre pour le dessert puis on se rassoit, deux bouchées plus tard, a nouveau debout pour le second qui a terminer et ainsi de suite. Quand notre dernière bouchée glacée est prise, alors c'est le dessert, puis la vaisselle. Ensuite, si nous sommes chanceuse, ils restent tranquille un peu, puis ce sont les bains, après les bains, nous devons ramasser la salle de bain, vêtement, serviette, éponger l'eau. Si nous avons des filles, alors on brosse les cheveux, on les tresses peut-être. Rendu la, c'est l'heure du dodo. Une fois qu'ils sont coucher tranquille, presque endormit, alors c'est le ménage, de la salle de jeux, du salon, de la cuisine. Si nous en avons la force, l'heure de la douche ou inévitablement, l'un d'eux se lèvera pour aller au toilette. Et après, un peu de temps en couple et on dort. Et si vous êtes comme moi, votre plus jeune viendra vous rejoindre au milieu de la nuit. Et repartira peut-être avant le levé du soleil. Et au matin? Eh bien, ca recommence!


C'est ma vie. La vie que j'ai choisit. Même si je suis fatiguée, que souvent je n'ai aucune patience, maintenant je savoure ma vie, je savoure mes enfants. Au travers tous ca, j'ai des je t'aime, des une maman, ca s'est tous faire. Des câlins, des sourires, des repas entièrement manger. Des visages heureux. Je suis une maman a la maison avec mes quatre enfants, et chacun d'eux, récompense tous ce que je leur donne!


Heureusement a travers tous ca, j'ai des trucs pour y avoir mon temps, j'écris, même si je me fais interrompre des dizaines de fois pendant que j'écris (6 fois depuis le début de mon texte ), j'arrive a avoir mon temps. Je lis en cuisinant, je lis en marchant, je lis au toilette. Parfois je mange debout, c'est moins compliquer pour leur donner ce qu'ils veulent. Il y a un temps ou je ne mangeais que lorsqu'ils étaient coucher. J'ai la chance de pouvoir déléguer, de ne pas être seule! Je peux profiter de quelque minute par jour pour moi, parfois même d'une sieste quand je suis chanceuse. Mais en général, nous assumons nos rôles en commun. Chacun ses taches, chacun son temps.


J'ai été seule pendant longtemps avec mes enfants, a bout de souffle au travers le travail et la routine familiale. J'arrivais cependant a tous faire. Il suffit de bien doser.


Ne vous laissez pas abattre les filles! Soyez forte, soyez le pilier de vos famille.


Un jour, vos enfants vous en remercieront. Et quand vous serez au ciel après une longue vie et beaucoup de bonheur, ils diront de vous:


Sans ma mère, la vie n'est plus pareil.


Ma mère c'était la meilleure.


Ou comme ma poupée,


Les mamans, ca sait tous faire!!


Luna!


P.S, c'est l'heure des muffins, ils ne veulent pas de toast!

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7 août 2015 5 07 /08 /août /2015 10:00
Creepypasta 4: Renaissance

Creepypasta 4


Renaissance


Aujourd'hui nous partons en camping. Camp sauvage au cœur de la forêt près de la maison de mon amie Émilie. La bas, se passe chose étrange. Elle dit que depuis la dernière fois qu'elle y est aller avec son frère, elle vit des choses qui la perturbe. Des nuits mouvementées ou elle se réveille le matin avec l'impression de n'avoir pas dormit.


Armé de nos tentes, nos lampes poches et de notre courage, nous sommes aller la bas, dans la clairière vaste et calme pour y passer la nuit. Nous sommes six au totale et nous ne nous préoccupons pas de ces rumeurs. Nos tentes montés, on s'installe pour un feu de camp improviser. Des saucisses brulent au dessus du feu. Félix nous raconte ses vacances en Floride. C'est serein. Nous avons but un peu d'alcool avant de nous coucher, histoire d'accompagner nos saucisses, puis l'esprit engourdit nous nous sommes coucher.


Je crois qu'il est trois heures du matin, un bruit ma réveiller, mais maintenant que j'ai l'oreille tendu, je n'entend rien. Pas une voix, juste le vent qui frappe de temps en temps sur les parois de ma tente. Je me retourne prête a m'endormir, mais j'ai envie de pipi. Je me redresse, tans pis, ma nuit sera courte. Je sort de la tente avec mon rouleau de papier de toilette et ma lampe torche. Dehors, il fait froid, la rosée a mouiller le gazon. J'ai les pieds nue, j'ai froid. Tant pis pour les souliers. Le feu est presque mort au centre de pierre. Il ne m'éclaire pas. Même la lune semble cacher.


Je me dirige donc vers les arbres, je choisis mon buisson et j'assouvie mon besoin pressant. Quand j'ai fini, debout et rhabiller, un jet de lumière m'éblouit. Pendant un instant, je songe a la lune qui est sortie de sa cachette mais je me rappelle qu'elle n'avait qu'un croissant léger cette nuit. Je cherche a voir au travers le rayon de lumière qui m'aveugle, mais je ne voit rien, que du blanc, tout blanc, trop blanc.


Je me réveille dans ma tente, quelque chose ma réveiller. La voix des autres. Le matin est levé. Je me redresse et tente de me rappeler de ma nuit, je suis aller au toilette, et je suis revenue. Ah oui la lumière, qu'est-ce que c'était?


'' Karine, tu vient?''


On m'appelle. Tant pis, je trouverais bien plus tard. Je sort de ma tente et m'étire. Ils ont fait le petit déjeuner.


Notre séance de camping s'est terminer vers midi. Nous avons remballer nos affaires et nous sommes rentré chez nous. Par conte, depuis ce soir la, je vie la même chose qu'Émile. Mes nuits sont courte, je me réveille et je ne me rappelle plus ensuite ce qui se passe. J'ai souvent l'impression de ne pas avoir dormit de la nuit. Parfois, je ne me réveille pas, mais je suis épuiser. Il n'y a rien qui devrait secouer mes nuits de la sorte. Je ne rêve même pas. Je ne comprend pas. Chaque soir, je prend un bain chaud, remplit de mousse, de bougie et de musique calme. Mais ma nuit, ne me repose pas.


J'ai même remarquer un matin, en me levant, une blessure fraiche sur mon pied. Chaque pas me fais souffrir. J'ai encore mal aujourd'hui, même si la blessure est cicatrisé. J'ai des bleus, un peu partout. Je ne sais pas comment j'ai pu me faire ca.


J'essais parfois de ne pas dormir, pour comprendre, mais je fini toujours par me réveiller le matin, souvent, même pas a l'endroit ou j'étais le soir. Je trouve ca étrange. Puis me vient l'idée que je suis somnambule. Ça dois être ca.


Un soir, j'ai décidé de m'enregistrer, histoire de savoir si je sort de mon lit, si on entend mes pas, me promener, parler peut-être. Je n'espérais rien en retirer, j'étais même un peu sceptique de ce que la cassette allait me donner comme réponse.


Par conte, au matin, ce qui sortie de la petite boite de métal qui contenait les sons de ma nuit, m'en laisse bouche bée, je ne sais pas ce que c'est. Quoi que oui, je sais, je m'en doute. Non, je ne doute pas. Je sais.


Voici, ce qui se trouve sur la bande audio.

Cliquez ici (ce n'est pas un virus , ca va vous diriger vers mon soundcloud)

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4 août 2015 2 04 /08 /août /2015 09:37
Tranche de vie 2: Des souvenirs en histoire


Dans ma vie, la littérature prend une place énorme. Quand je n'ai plus rien a lire, ma vie me semble morose et je dois trouver quelque chose a faire. Alors, je relis les livres que je connais par cœur qui trône comme des rois dans ma bibliothèque.


Cette passion de la lecture remonte a plusieurs année. Je me souvient de l'important de l'histoire, mais pas des détails. Ma mère, qui elle aussi avait cette passion, m'avais punie. Enfermer dans ma chambre pour la journée. Elle m'avait laisser qu'une condition si je voulais en sortir, soit lire le livre qu'elle avait déposer au coin de mon grand bureau six tiroirs surplomber d'un miroir, auquel j'avais coller des faux tatous. J'ai bougonner pendant une heure, peut-être deux, puis j'ai décider d'écouter ma mère. J'ai pris le livre et je l'ai lue. Dévorer en quelque heures. C'étais Harry Potter a l'école des sorciers.


Quand je l'ai terminer, je suis monter rejoindre ma mère, je lui ai tendu le livre et lui ai demander le deuxième, qu'elle ma tendu. Ça été terminer. Je n'ai pas pu sortir de ma chambre, je voulais lire. J'ai mis de cotés mes amis, les livres étaient devenue ma priorité.

Puis ensuite, je choisissais mieux mes livres a l'école. Passant de mon premier choix de livre, soit Babouche de la courte échelle, l'histoire d'un garçon et de son berger allemand trop vieux, qui meurt durant le livre mais dont l'histoire se termine dans les yeux d'un chiot labrador, a un hivers de tourmente.


Puis ma mère est morte, comme mon envie de lire. Je me suis obliger a terminer les Harry Potter, puis j'ai lut sa bibliothèque. Passant de Virginia C Andrew, des orphelines a Aurore l'enfant martyre. J'ai lut Anne Rice, Daniel Steele, puis, mon sauveur, Marc Levy. Je me perdais dans leur mots et leur monde souvent triste et tourmenté, comme mon âme.


Puis vient, ma propre collection. Les Harry Potter trône dans ma bibliothèque, même si ils sont vieux et user, je ne me résou pas a acheter de nouveau livre pour les remplacer, même si l'occasion s'est présenté plus d'une fois. Amos Daragon a rejoint ma collection, puis les Chevalier d'émeraude, A.N.G.E, Alexanne, Grey. Sont venu ensuite tous les Marc Levy, quelque Virgnia que je ne me résou pas a abandonner. Et surtout, la comtesse de Ségure que j'ai lourdement perdu tous les volumes lors d'une inondation. Livre que ma mère collectionnait dans son jeune temps, un trou dans mon cœur. Un jour, je les retrouverais tous.


Comme je suis une fervente défenderesse de la langue française, les livres font partie intégrante de nos vie. Je ne suis pas des plus douée en orthographe, j'imagine que vous le savez ca, mais je défend les mots bien écrit. Je ne supporte pas les erreurs d'inattention, des fautes stupides. Je corrige mon fils, mon amoureux, mon frère. Et je me fais corriger par mon amie qui enseigne a l'école au adolescent une autre langue.


Je n'ai pas eut besoin d'intégrer les livres dans la vie de mes enfants. Comme je suis toujours un livre a la main, c'est donc un objet normal pour eux. J'ai été récompenser l'an passer, quand mon fils ma appris avoir lut cinq roman. Quand ma fille qui tous les soirs se couche avec une montagne de livre qu'elle regarde tour a tour. Quand mon fils de deux ans ne se couche pas sans son livre. Aucune histoire n'est lut, mais eux, ils se l'invente avant de dormir et j'espère que leur imagination peuple leur rêve.


J'espère de tout mon cœur que leur petite sœur, Lilipou qui aura cinq mois vendredi prochain, suivra leur exemple. Quoi que son jouet préférer reste un livre qui fait le bruit d'un sac de plastique.


Ma mère a accomplie l'impossible en domptant mon esprit obstiner pour me plonger dans l'imaginaire et j'ai fais pareil avec mes enfants. Elle en serait fière!


Merci de m'avoir lut! :)
Luna.


P.S, Je pars en vacance durant une semaine, du 9 au 14 aout. Je ne publierais pas entre ses dates, mais mes articles seront prêt pour mon retour. Mon creepypasta sera prêt le 14.

J'ai aussi besoin de vous, pour une histoire. J'ai besoin d'une idée de base et vous serez maitre de la destinée de cette histoire. Écrivez moi, prénom, ligne générale (du genre, Andréa, kidnapping d'enfant) Comme vous voulez :D


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31 juillet 2015 5 31 /07 /juillet /2015 18:41
Creepypasta 3 : Journal Intime

~ Voici ce que j'ai trouver sur internet en faisant mes recherches pour mon Creepypasta. ~

13 Juillet 2015

Je vie dans une maison avec ma famille près d'une forêt depuis plusieurs années. Chaque jour, depuis, je vais courir sur les chemins tout fait de véhicule tout terrain qu'il as dans la forêt. Chaque jour, je fait le même trajet, écouteur sur les oreilles, je suit mon chemin.

15 Juillet 2015

Aujourd'hui, sur mon chemin, j'y est découvert une flaque de liquide rouge. Sans y porter attention, je suis rentrer chez moi. J'essais de trouver dans les actualités si il n'y as pas quelqu'un de disparut, juste pour savoir. Mais personne ne manque a l'appel. Ce doit donc être un animal.

16 Juillet 2015

Aujourd'hui, toujours sur le même chemin, j'ai retrouver encore une flaque sang, puis une seconde. Il y en as plusieurs. Mais aucun animal. Je ne sais pas ce qui ce passe la-bas, mais ca m'intrigue. J'ai retirer mes écouteurs et j'ai chercher tout autour du chemin. J'y est découvert encore plus de sang, mais pas de reste animal. Toujours sans réponse, je suis retourner chez moi. Je cherche a savoir si un animal dangereux rôde, si il y a une interdiction de circuler dans la fôret, mais rien. Il n'y as rien.

17 Juillet 2015

Je suis retourner faire ma course matinale. Cette fois ci, le chemin est presque entièrement couvert de sang. Le chemin est rouge. J'ai de nouveau retirer mes écouteurs, et j'ai explorer une seconde fois. Cette fois, j'ai été récompenser. Par réflexe, je n'ai pas crier. J'ai mis une main sur ma bouche pour m'empêcher de le faire. Comment décrire ce que j'ai vu? Comment être objective? Je l'ignore. Je vais toute fois tenter le coup. Si c'était un humain, il n'en reste presque plus rien. Il y avait des doigts, des organes, des os, une tête ouverte comme une noix de coco et vidé de son contenu. C'était une scène horrible.

J'ai du mal a me contenir et a garder la tête froide. J'ai reculer de quelque pas, tous ca, c'est cacher par des buissons, on ne voit rien du chemin. Je suis retourner chez moi et j'ai fais de nouvelle recherches, rien de concluant.

18 Juillet 2015

Ce matin, j'hésite, devrais-je aller courir? Qu'est-ce que je vais trouver cette fois ci? Restera t'il des restes de ce que j'ai vu la vieille? Je ne sais pas si j'ai envie d'y aller.

Finalement, je suis aller. Sur le chemin, il n'y avait presque plus de sang. J'ai retrouver le buisson et l'endroit ou le carnage avait eut lieu. L'endroit avait été sommairement nettoyer. Il y avait des traces de pas dans la terre mouillée. J'ai suivit les traces dans la terre, j'ai trouver une clairière.

Ce que j'ai vu, m'as littéralement glacé le sang. Je suis resté muette de stupeur et j'ai dut resté planté la, a l'aurée des arbres, pendant plusieurs minutes avant que mon cerveau ne se remettre a marché. J'ai rebrousser chemin et je suis rentrée chez moi.

Ce qu'il y as la-bas, personne ne devrait être au courant. J'ignore si ils m'ont vu, j'espère qu'ils ne m'ont pas vu.

19 Juillet 2015

Ce matin, j'y suis retourner. Le chemin de terre est de nouveau plein de sang. L'endroit du premier carnage est cependant toujours vide. Mes pieds m'ont guider jusqu'a la clairière. La, je suis resté discrête et cachée. Je savais a quoi m'attendre. Je savais ce que je verrais. Ils étaient la, presque nu, avec leur peau trop bronzé, presque brûler. Ils sont en train d'occuper plusieurs tâches. Mais au centre, est suspendu un homme. Il était attacher par les poignets et les chevilles sur une grosse branche de bois. Il était toujours vivant. J'entendais ses cris, ses gémisements, ses lamentations. Sous lui, brûlait un feu qui lui lèchait le corps a chaque fois qu'un homme le tournait. Sa peau était rosit par le feu. Il semblait souffrir le martyre.

Je me sens sadique d'être resté pour regarder ce qu'ils allaient en faire. Je m'en doutais bien, mais la curiosité a pris le dessus. Je suis resté accroupit près de l'arbre pendant des heures.

Il était pas loin de midi, je pense, quand ils l'ont détacher. Il ne fesait aucun son. Il m'a sembler encore vivant, mais ils s'en foutait. Ils se sont tous approcher et ont commencer a tirer sur ses membres. Ils lui ont arracher un bras, puis le deuxième. Ils l'ont mâcher a trois. Puis, ils ont entamer les jambres. Ils ont arracher la tête et l'un d'eux s'est pencher sur son ventre. J'entend encore les os briser, leur mastication de chair tendre, le bruit des cartilages. Je les entend apprécier leur repas.

Ils ont pris l'après midi pour le dévorer. Je suis partie avant qu'ils ne décident de jeter les restes au même endroit que la première fois.

20 Juillet 2015

Je suis retourner courir ce matin. Le buison cache effectivement les restes de l'homme. J'ai décider de ne pas aller a la clairère. J'ai fait ma course comme d'habitude, avant cette histoire la.

21 Juillet 2015

Je suis aller courir ce matin, je me suis arrêter au buison. J'y suis aller. Il n'y avait plus rien. J'ai suivit le chemin jusqu'a la clairière. Ils sont la, a vaquer a leur occupation. Je suis resté la quelque minute a les observer.

Je crois qu'il y en as un qui ma repèrer. Son regard est tomber sur moi. Il ma regarder dans les yeux, je sais qu'il ma vu. J'ai reculé, je suis partie.

23 juillet 2015

Ca fais deux jours que j'y retourne. Deux jours que je sais qu'ils savent que je suis la. Aujourd'hui, il y en as un qui ma approcher. Il a essayer de me parler en plusieurs langue avant de tomber sur la bonne. Maintenant nous pouvons communiquer. Il m'explique qu'ils sont une tribue de cannibale qui vivent en retrait dans la forêt. Je lui ai demander ou ils trouvent leur repas. Ils m'explique que l'état leur fournis des prisionniers. J'ai pu le questionner, mais il ma fait jurer de ne pas parler de ca a personne. Je dois donc taire le reste.

25Juillet 2015

Je suis retourner hier. J'ai participer a leur repas. Ce n'est pas si atroce que ca.

Posté sur internet le 30 juillet 2015

Voici le journal intime de ma copine. Elle n'est pas revenue le 25 Juillet. Nous sommes le 30 Juillet, je n'ai pas de nouvelle depuis maintenant 5jours. J'ai appeller la police, mais ils ne veulent rien faire. J'ai essayer de la faire porté disparue, mais l'annonce s'efface. Je ne sais pas quoi faire. J'ai peur d'aller voir la bas.

Quelqu'un peut m'aider?

Posté sur internet le 31 Juillet 2015.

Aujourd'hui, je vais aller voir.

P.S, Ceci est une histoire fictive que j'ai inventer!

A mardi :)

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30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 13:04
Tranche de vie : Grey

Comme ca fais une semaine que je suis en vacance, vacance d'enfant, j'ai donc profiter de mon temps a moi pour faire plein de trucs. J'ai un peu sauté par dessus mon horaire de blog. Ma tranche de vie avec mes enfants est un peu mise de coté.

J'ai donc choisit de vous faire une tranche de vie personnelle a moi.

Comme vous le savez, je suis écrivain mais je me passionne aussi pour le travail des autres. J'adore lire tout de sorte de chose, mais les romans me fascine d'avantage. La plupart des femmes de ma connaissance a deja lut la trilogie dont je vais vous parler.

Soit, 50 nuances de Grey. Quelle femme ne la pas lut? N'a pas vu le film? Ne sait pas du tout de quoi je parle?

Je vous fais part ici de ma critique du livre, ainsi qu'une de mes découvertes littéraires.

50 Nuances de Grey est l'histoire d'Anatasia Steele. Passionnée de litérature et ne connaissant rien a l'amour, et tout autant du sexe, tombe par hasard sur Christian Grey, homme tourmenté par son passé. Tous au long du premier livre, on y decouvre les deux personnages irrisisblement attiré l'un par l'autre. Christian voulant entrainer la pur et douce Ana vers son monde pervers remplit de mystère rencontre quelque difficulté. Ana ne voulant pas se soumettre au exigence du beau Christian, lui opose réticence.

Ce livre est lourd de sentiments, lourd d'émotion, lourd de sensation et d'idée préconcu. J'ai adoré le lire. C'est rafraichisant de lire un livre aussi crut, aussi détailler, aussi remplit de sensation ou quelque fois, on s'y retrouve. Très bien écrit et subtil, ce fut un roman plaisant a lire. Je n'ai pas de mauvaise critique a dire. C'est tous simplement sublime.

Le deuxieme livre raconte la suite de leur ébat, de leur histoire avec encore plus de complication qui nous tiens en haleine. Un peu de suspence, juste assez pour ne pas cacher l'ensemble de l'histoire. Je ne veut pas vous dévoiler les secrets du livre, je m'arrête donc ici pour le résumer.

J'ai adorer la subtilité du suspence. Même après une deuxieme lecture, j'étais tous autant accrocher a mon livre qu'a ma première fois.

Le troisieme est donc la conclusion, une happy ending bien sentie et prévisible. Un peu de danger, une poursuite automobile, un peu de larme, d'inquietude, mais autant de bonheur que toute femme souhaite trouver.

Ce livre est la conclusion parfaite de cette trilogie, bien que j'aurais souhaiter ne pas m'arrêter de lire. La dernière page m'as laisser amèrement décue. J'ai été laisser sur ma faim. Comme si on vous montrait votre repas préférer, que vous pouvez le sentir, a peine le gouter et hop, disparut. J'ai fermer mon livre avec colère.

Deux ans après ma première lecture, j'ai appris qu'un quatrième livre était en réflexion, un peut-être d'une suite. N'importe quoi m'aurait suffit, même un quatrieme livre de leur ébat. Ce que j'ai découvert hier, après avoir eut la confirmation il y a quelque semaine, ma fait bondir de joie.

J'ai sauté sur l'occasion moins de deux heures après son annonce. J'ai acheter un EBOOK, nommé Grey. Les 50 nuances de Grey par Christian, premier tome.

Oh lala. Je l'ai dévorer. Je ne l'ai pas terminer mais je suis quand même a plus de la moitié. Tous comme c'étais passionnant de lire et de comprendre le point de vue d'Ana dans les trois premiers livre, celui la est tous simplement époustouflant. Il est adictif. Il est absorbant.

Dans la tête de Grey, on retrouve les monologues d'un jeune homme encore adolescent focuser sur une seule partie de son anatomie. On le retrouve s'insultant face a un miroir, on y découvre aussi, ses rêves, ses cauchemards, ses souvenirs. Mais on y comprend surtout tous les pourquoi qui hantait Anastasia, et moi, si vous êtes comme moi. On y comprend aussi pourquoi Anastasia Steele l'a autant ensorceler, pourquoi il est fait de 50 nuances.

La noirceur tous simplement. On la découvre telle qu'elle est, telle qu'elle le perturbe, telle qu'elle le foudroie de l'intérieur. Je suis déja impatiente de découvrir les deux autres tome promit. J'espère seulement qu'elle n'attendera pas a nouveau quatre ans...

Je vous suguère donc, mes dames, de vous procurer ce livre. Il doit être autour de 30$ si je ne me trompe pas. Mais il en vaut largement ce prix du haut de ses 463 pages!

J'attend vos critiques, j'ai hâte d'avoir vos points de vue de ce livre plein de noirceur.

A bientôt!

Luna.

P.S A demain pour les vendredi Creepypasta!

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24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 11:37
Creepypasta 2 - Le Rake

~Creepypasta 2

Cette histoire a commencé un soir durant un été particulièrement chaud. J'étais en compagnie de mes amis près d'un feu de camp à manger des marshmallows et des saucisses. On discutait comme ça de tout et de rien, puis Catherine nous a parlé d'une rumeur.

Il semblait que dans la forêt qui nous entourait, nous pouvions trouver des panneaux de circulation et même un territoire interdit. Elle disait aussi que c'était à cause d'une ville entièrement abandonnée au cœur de la forêt. Personne ne savait vraiment pourquoi les gens l'avait abandonnée. Elle disait qu'elle connaissait le chemin pour s'y rendre.

Comme nous étions sous l'effet de l'alcool, du moins quelques-uns d'entre nous, nous avons décidé de tenter notre chance et d'essayer de trouver cette ville.

Armés de lampes de poche, nous nous sommes aventurés dans la forêt. Nous avons marché pendant des heures sans rien trouver. Même Catherine semblait fâchée que la dite rumeur n'existe pas. Nous étions sur le point d'abandonner quand ma lampe de poche tomba sur le premier panneau. Un indicateur de vitesse. Nous étions donc sur une route.

Encouragés par cette découverte, nous tentions de suivre le chemin sur le sol. Le second panneau annonçait une ville. Lac Violet. Nous avons poursuivi notre chemin et le troisième panneau annonçait l'entrée de la ville. En arrivant, nous avons dû forcer un peu notre chemin pour pénétrer dans la ville. Ça ressemblait à un film d'horreur. Dans le noir comme ça, je ne savais pas si je me trouvais sur le plateau d'un film d'horreur ou si tout ceci était vrai.

Aucune des maisons qui se dressaient devant nous n'avait de vitre dans les fenêtres. Quelques-unes avaient des portes qui tenaient à peine sur leur gonds. Des voitures étaient stationnées dans les entrées, certaines dans la rue, d'autres attendaient une lumière qui ne fonctionnait plus. Il y avait eu de l'électricité mais voilà longtemps que la ville n'était plus fournie par l'état. Le sol était couvert de feuilles, de papiers, de végétation morte, de poussière, puis Catherine hurla.

Nous nous sommes tous tournés vers elle. La main sur la bouche, son autre main tremblant sur sa lampe de poche, elle était figée de terreur. J'ai suivi des yeux le rayon lumineux jusqu'à la scène qui la terrorisait. Tout près de nous, je dirais environ à cinq mètres, une créature blanchâtre, nue, maigre comme un squelette, était penchée sur ce que je pense être un humain et dévorait, sans se servir de ses mains aux longs doigts griffus, les organes, qui devaient être internes, d'un homme. Figés de terreur, nous regardions tous la créature continuer de manger comme si elle n'avait pas entendu le cri de Catherine.

Nous étions cinq au départ de notre aventure. L'un après l'autre nous avons attrapé la main de notre voisin pour reculer, doucement, vers un abri temporaire. Il était hors de question que nous fuyions vers chez nous. Cette créature ne devait pas trouver notre ville. Main dans la main, nous sommes entrés dans l'une des maisons possédant une porte, mais pas de vitre. Nous avons placé des meubles, dans le silence le moins parfait du monde, mais discret, à chacune des fenêtres. Nous étions à l'abri.

Avec nos lampes de poche, nous nous éclairions pour nous assurer que tout le monde allait bien. Nous étions quatre.

En regardant la porte, pendant que les sons de mastication et d'os brisés nous glaçaient le sang, j'ai pris conscience que le dit humain qui se faisait dévorer là dehors, était l'un d'entre nous. Simon, pour être précise. Cette chose nous avait surpris et avait tué notre ami dans le silence le plus complet.

Nous étions pris au piège; si nous sortions, elle pouvait nous manger, si nous restions, elle pouvait forcer l'entrée, mais si nous restions, nous serions plus en mesure de nous protéger, de nous défendre, de survivre jusqu'au matin.

Catherine ne cessait de répéter, de se demander ce que ça pouvait être ce machin-là, dehors. Personne ne pouvait lui répondre, car l'image de la créature repliée sur elle-même, qui semblait n'avoir que la peau sur les os, n'était pas très précise. Elle semblait être plutôt grande. Elle avait de longs doigts, de grands pieds aux ongles noirs et griffus. Elle n'avait pas de cheveux, elle avait un visage ovale, très maigre. Je n'ai pas vu ses yeux, et sa bouche sanglante, je l'ai à peine regardée. Ce n'était clairement pas un humain qui avait muté, ni aucune créature que je connaissais.

Les bruits ont cessé dehors, nous avons cessé de parler. Avait-elle déjà fini son repas? Nous avons aussi éteint nos lampes de poche et avons reculé, dos contre le mur du fond, face à la porte. Nous nous sommes pris la main, histoire de savoir si l'un de nous disparaissait. J'étais franchement terrorisée. Nous n'entendions rien. Il n'y avait aucun bruit dehors. Que faisait-elle?

Puis un craquement, un second. Ça me semblait proche. Je ne sentais pas mes amis bouger, je savais que ce n'était pas eux qui bougeaient. Le troisième craquement me sembla être dans la maison. J'entendais le souffle de Catherine qui respirait vite. Je savais qu'elle avait mis sa main sur sa bouche et qu'elle pleurait. Julie, qui était à ma droite, me serrait la main. Et je sentis soudain, l'odeur de sang. La créature était là. Ça sentait le mort, comme dans un salon funéraire. Ça sentait l'hôpital. Ça sentait la défécation. Ça puait. J'avais mal au cœur. Je mis moi aussi ma main sur ma bouche pour me retenir de vomir. Dans le noir, je ne voyais rien. C'était opaque. Je ne savais pas ce qu'il y avait autour de moi, à l'exception de Julie à ma droite et d'une bibliothèque à ma gauche.

J'ai senti quelque chose d'humide me frôler le bras, celui que j'avais monté devant moi. Je me forçait à ne pas bouger. Je ne devais pas bouger. Je serrai la main de Julie, qui me répondit de la même façon. Je compris alors, que depuis tout à l'heure, cette créature se tenait devant nous et nous passait en revue, trouvant son prochain repas. Elle passa son chemin et se planta devant Julie me semblait-il. Je la sentis tressaillir et me serrer la main. La créature la toucha aussi.

Puis l'idée me vint, ma lampe de poche. Si je l'éclairais, reculerait-elle? J'hésitai. Et si elle se mettait en colère? Et puis? Ce serait toujours mieux que de rester planté là comme un buffet! Du moins, j'espère. Doucement, je descendis ma main de mon visage à ma cuisse, je mis doucement la main sur ma lampe de poche, dans la poche de mon jeans. Je crois qu'elle était retournée vers Catherine qui était au bout de la file. Doucement, je levai ma lampe de poche au niveau de ma poitrine, histoire d'éclairer son visage. D'un coup sec, j'allumai. La création était devant Sandra qui se trouvait entre Julie et Catherine. Elle cria quand la lumière lui éclaira les yeux. Les trois réagirent comme moi et on l'éclaira de nos lampes de poche. La créature recula, puis après un temps qui me sembla trop court, elle s'habitua à la lumière et sauta sur Sandra comme une sauterelle. Catherine cria et courut vers la porte ouverte et sortit dehors. Je la suivit, incapable d'assister à ca. Julie tenta de sauver Sandra mais elle se résigna; Sandra était déjà morte. Nous courûmes toutes les trois à en perdre haleine. Nous courûmes vers la sortie de la ville. Elle mangeait, peut-être avions nous le temps de quitter cette ville, de partir, de retourner chez nous.

Au petit matin, nous émergeâmes de la forêt. Chez nous, plein de lumière. Le jour, enfin. Nous nous sommes quittés pour rentrer chez nous.

Je n'ai pas dormi pendant près de trois jours suite à ça. J'étais toujours terrorisée. Nous avons tenté d'expliquer ce qui s'était passé aux autres, expliquer pourquoi Simon et Sandra n'étaient plus là. Expliquer qu'ils étaient morts. Ils ne nous crurent pas, mais ne tentèrent jamais d'aller voir. Ils ne nous ont pas nous plus accusé de leur mort. J'ai vaguement l'impression qu'ils savaient tous ce qui se passait là-bas.

J'ai fait des recherches sur internet durant mes nuits d'insomnie. Ce que j'ai trouvé qui ressemble le plus à cette créature, c'est une espèce d'extra-terrestre, mutant, une chose que beaucoup semble avoir vue, une chose qui semble territoriale, une chose qui ne déménage pas, une chose pas facile à tuer.

Cette chose, c'est le Rake!

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22 juillet 2015 3 22 /07 /juillet /2015 17:28
La vie a six

La vie a six

Épisode 1

Présentation

Je suis maman de quatre enfants. Tous d'age différent, ayant des besoins différents, voulant de l'attention différente et vivant des étapes de leur vie importante. Je m'appelle Karine. J'ai 28ans, je suis diplomée en technique équine et j'en fais mon métier. J'ai ma maison mais pas d'auto. Je vie avec mon amoureux avec qui je vais me marier dans quelque années. Je suis aussi écrivain, j'ai plusieurs romans a mon actif mais aucunement le courage de publier. Mon blog est en partie une pratique pour moi, me faire connaitre, digèrer d'être lue par des inconnus, avant d'être publier un peu partout, je l'espère et d'être connue. Je me passionne pour les chevaux, bien sur, la littérature en général, le cinéma, les jeux vidéos et tous ce qui concerne les enfants. L'écriture a une place importante dans ma vie, a un point assez intense ou si je passe une journée sans écrire, je tombe dans une bulle ou je suis quasiment inaccessible.

Mon ainé a 9ans. Il est dans une phase que je qualifie de pré-adolescence. Il est parfois arogant, parfois adorable. Parfois serviable, desfois borner. Il est dans la phase ou il recherche son identité et pour moi, c'est important qu'il soit proche de moi. Je veut que plus tard, je puisse être sa confidente, qu'il ne me cache pas ce qu'il vit dans sa vie d'adolescent. J'aimerais pouvoir lui être une porte sortie, pouvoir se défouler en me parlant a moi. Je ne veut pas être une mère envahisante ni trop protectrice. Je tiens d'abord et avant tous a son bonheur, a son indépendance, a sa vie privée. J'espère simplement que je reussis ma mission. J'ai hâte de voir ce que la vie lui réserve mais je veut aussi qu'il sache que maman est la en cas de problème, que ma porte sera toujours ouverte pour lui, que mon coeur ne le rejetera jamais, qu'importe les décisions, bonnes ou mauvaises qu'il prendra.

Ma poupée a 5ans. Elle vit une énorme phase d'opposition a laquelle je ne comprend rien. Je ne sais pas comment l'aider, comme vaincre ce syndrome la. J'ai de l'aide bien sur, mais comment puis-je l'aider? Qu'est-ce que j'ai fait pour qu'elle en vienne a s'opposer a tous? A crier au moindre refus? Je lui donne du temps, qui est malheureusement pour elle, diviser en quatre. J'essais. Je crois que j'y arriverais, je l'espère du moins. Malgré tous, elle reste une petite fille adorable, drole et voulant grandir parfois trop vite. C'est ma mini-moi! Ma poupée aime la vie de manière générale, un rien la rend heureuse. Hier, au magasin, elle avait tellement de plaisir. Je l'appelais Minie-moi et elle riait et réagisait drôlement. C'étais du pur bonheur! Ma petite princesse, ma minie-moi! J'ai bien hâte de voir l'avenir pour elle, si elle restera toujours ma minie-moi!

Mon camionneur a 2ans et demi. Il est toujours bien encrer dans son terrible deux. Il veut faire des choses tous seul, mais il en est incapable. Il veut faire tous comme sa soeur et son frere, même bébé il se mettais en colère parce que son corps refusais de lui obéir, il voulait tant jouer avec eux. Maintenant qu'il le peut, il se fâche parce qu'il n'arrive pas a faire comme eux. C'est compliquer un petit homme qui veut aller trop vite. Même si au fond de lui, il reste un bébé, mon bébé et qu'il aime se coller, se faire bercer, être catiner! C'est un grand bébé qui veut agir en grand et en bébé a la fois. Je vie crise après crise avec lui, mais quand il est calme, je vie des câlins, des bisous, des je t'aime. Il est casse cou, il aime les choses de gars, c'est un vrai homme en devenir. J'ai hâte de voir ce que la vie lui réserve.

Puis, y'a Lilipou! Le seul bébé au monde auquel je ne comprend strictement rien. Elle a 4mois. Elle dort douze heure et plus par nuit et a son réveil, elle n'a pas faim. Elle souris, je la change, je l'habille, je joue, puis finalement je me dit qu'après tous ce temps, elle devrait avoir faim, alors qu'elle ne me montre aucun signe. Je lui donne son lait qu'elle boit comme une gloutonne. Ensuite, elle fait la sieste. Se révelle, joue et je dois encore deviner qu'elle a faim. Je ne l'entend pas, au point que je peux l'oublier. Mais comment oublier ce petit rayon de soleil souriant? Elle aussi veut aller trop vite. Elle grandit a une vitesse hallucinante. Elle agit comme une grande. Je me demande parfois si dans sa tête, elle sait qu'elle est un bébé qui normalement ne dort pas la nuit et fait des coliques, qui pleure parce que ses dents poussent. Elle ne fait rien de tous ca. Elle joue, elle sourit, elle ris, elle dort, elle mange. J'ai peur d'elle parfois. Si elle était née comme ca dans une famille négligente, saurait t'elle prévenir qu'elle a faim? Ou ferait t'elle comme elle me fait et ne le dirais pas? J'ai peur des bébés comme elle, j'ai peur que ces enfants la meurt de faim. Mais je suis néanmoins très heureuse d'avoir ce bébé dans ma vie, des enfants comme elle, j'en aurais dix. Quoi que j'ai dit la même choses de mes trois premiers!

Leur relation entre eux, est adorable. Parfois comme chien et chat, mais le plus souvent, ils sont complice. Toujours dans la même pièce, a jouer ensemble. Mon petit camionneur me surprend avec ma Lilipou! Ils sont si proche, il est si fou d'elle alors que j'étais persuadée que mon grand bébé serait fâcher de perdre sa place. Au contraire, il la lui laisse volontier en venant chercher du réconfort de maman la nuit. Il vient se coller dans mes bras pratiquement toute les nuits. Je sais que ca le suffit.

Au travers tous ca, je dois gerer un grand en quête d'appartenance. Une petite minie-moi qui souhaite grandir comme une princesse. Un petit camionneur que tous dois lui être dut et une petite fille avec qui je dois deviner ses besoins vitales. Dans la tête de maman, ca roule a 100 a l'heure!

Heureusement que j'ai de l'aide, un beau papa merveilleux qui comble mes lacunes, qui me laisse reposer mon cerveau sur le bord de cramé. Une grand maman en amour avec sa Lilipou. Une marraine qui adore sa petite poupée, une tante qui rêvais de mon camionneur et pour l'ainé, il a un oncle qui choisit de passé tous ses vendredi soir avec lui! Au travers tous ca, ils sont combler, remplis d'amour et je leur souhaite le meilleur du monde et je ferais tous ce qui m'est permis, pour le leur donner!

Je vous aimes mes trésors !

Maman

P.S

La vie a six, sera une chaîne d'article publié le même jour chaque semaine sur nos vies. Ce qui s'y passe, ce qu'ils font, des anecdotes comique. Bref, des tranches de vie !

A vendredi pour Creepypasta numéro 2!!

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21 juillet 2015 2 21 /07 /juillet /2015 09:58
Des femmes qui sont des anges

En juin l'an passer j'apprenais que j'étais une nouvelle fois enceinte. Une quatrième fois après une fracture du bassin. Cette grossesse était voulue et planifiée même si elle me terrorisait. J'avais peur d'avoir mal, de souffrir un enfer durant les 9 mois qu'allait durer la gestation de ce petit bébé. Ce fut effectivement le cas. J'ai eut mal, très mal. Mais ça en as valut la peine et j'étais bien entourée.

Pour faire différent et surtout pour vivre une expérience que je n'ai jamais vécu avec mon chum, pour qui ce bébé était le premier, j'ai opter pour la maison de naissance. Accoucher avec des sages femmes. L'idée d'accoucher sans la moindre anti douleur ne m'effrayais pas. Puisque j'avais eut mon troisième bébé sans epidurale, qu'il pesait 9lbs et qu'il m'a fracturer le bassin. Je me disais que rien ne serais plus pire que ça! Heureusement, je ne me suis pas tromper.

Donc, nous sommes aller voir les sages femmes. L'attente ne fut pas longue pour y avoir ma place et lors de notre premier rendez vous, nous n'avons pas attendu comme j'avais l'habitude avec le gynéco. Le rendez vous a durer plus d'une heure. Ou nous nous sommes présenter chacun notre tour, ou j'ai raconter mes précédents accouchements, mes craintes et mes attentes. Ce fut ainsi chaque fois. Une discutions entre des gens civiliser ou rien de médicale n'étais programmer. J'ai pu choisit si je voulais une échographie, si je voulais faire les prises de sang et choisir ce a quoi je voulais être tester. J'ai aussi choisit de passer le fameux test de diabète, chose que j'ai refuser. J'avais le choix sur tout. Vers la fin, j'ai même pu choisir d'être examinée!

Quand mon terme à été dépasser, j'ai dut aller à l'hôpital avoir l'avis d'un gynéco sur la marche à suivre, faire une échographie de contrôle et avoir le choix de subir un stripping. Un décollement des membranes pour aider le travail à avancer. Chose que j'ai accepter.

Le lendemain mon travail à commencer. Je me suis présentée à la maison de naissance et on choisit ensemble que je resterais la bas. J'ai pu faire mon travail comme je l'entendais. Les sages femmes me suivait pour écouter le coeur de bébé au 15 minutes. Pas une fois je fut obligé d'être coucher. Je pouvais marcher, prendre des bains. Aller dehors, rentrer, marcher. Me coucher, aller au toilette.. Vraiment comme je le voulais. Je voulais accoucher dans l'eau. On m'a laisser faire jusqu'à ce que mon corps ne supporte plus la douleur et qu'il m'envoie des décharge d'anti douleur lui même. Je tombais dans le noir entre chaque contraction et la douleur me ramenais à chaque fois. J'ai perdu les eaux debout accrocher au cou de mon chum.

Quand le temps fut venu, j'étais dans le lit, j'ai essayer toute les positions en attendant que mon corps se décide à pousser. J'ai fini coucher sur le dos et mon corps à pousser seul. Il a fais des merveilles. Mais ce qui m'a le plus épatée et jamais j'aurais pu le faire ailleurs, à été de toucher ma fille. L'intérieur de moi et de la guider jusqu'à la sortie. Je lui ai défait moi même les tour de cordon ombilical qu'il l'enroulait comme un sac à dos. J'ai sortie ma fille moi même. Je l'ai grimpée sur mon ventre. Je l'ai nettoyée et je l'ai mis au sein sans l'aide de personne! J'ai été le chef de mon accouchement.

OK on m'a aidée un peu mais j'ai quand même fait le plus gros, le plus émouvant, toute seule. Je voulais faire bébé lotus, qui est de garder bébé attacher au cordon ombilical jusqu'à ce qu'il ne pulse plus. Je n'ai pas pu aller au delà de 45minutes. Une hémorragique en voulait à ma vie. J'ai dut laisser ma fille a mon chum après l'avoir libérer moi même du cordon ombilical! Il a fait le premier contact peau a peau, ce dont je souhaitais secrètement.

Puis comme des anges, les sages femmes se sont mis à bouger et ont stopper l'hémorragie elles même. Plus tard ce matin la. On nous a cuisiner notre petit déjeuner. On nous a laisser tranquille. Elles sont venu prendre les signes vitaux de ma fille sans nous réveiller. Elles ont été des anges discrète! Nous avons pu rentrer chez nous un peu moins de 12h après la naissance de ma princesse, Alyssa! Elles sont revenues me voir 5 fois chez moi. Pour voir comment j'allais, pour voir comment bébé allait, pour m'aider dans mon allaitement. Et chaque fois que j'avais besoin d'elles j'ai pu les appeler. Je pouvais les appeler peu importe l'heure du jour ou de la nuit, j'avais toujours réponses a mes appels. Elles sont même venues une fois a 22h pour soulager mon inquiétude. Malgré le fait, qu'Alyssa est mon quatrième bébé, je suis toujours autant inquiète.

J'ai vécue la plus belle des naissances que je n'ai jamais donner! Vivre les expérience des anges sages femmes devrait être vécue par toute. Revenir au point ou nous étions forte et capable d'accoucher sans assistance médicale. Puisque de toute façon, donner la vie n'est pas une maladie... Pourquoi devrions nous être hospitaliser ? Forcer d'être étendue sur le dos, d'être relier a des machines ?

J'espère que je vous ai donnée à réfléchir!

J'espère que votre choix se portera sur ces anges à votre prochaine grossesse afin que vous puissiez vous aussi vivre le paradis en matière d'accouchement.

Je vous jure que jamais de vos vies, les filles, vous n'aurez été traiter plus humainement qu'avec elles!

Bonne soirée mesdames !

Luna

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13 juillet 2015 1 13 /07 /juillet /2015 16:29

Le Couvin

On m'a parlé de ça, il y a quelques mois quand j'ai fait une fausse couche.

La personne qui m'en a parlé a vécu cette expérience traumatisante et je vous la partage, ne serait-ce que pour vous éviter à vous aussi de vivre cette étrange histoire.

Tout a commencé en pleine nuit quand mon amie s'est mise à saigner alors qu'elle était enceinte de pratiquement trois mois. Elle a compris qu'elle perdait son bébé avant que les premières contractions ne lui labourent le ventre. Elle a donc décidé d'aller dans le bain, histoire de faciliter l'expulsion du bébé.

Tout ça a pris quelques heures. Puis, une fois tout terminé, en larmes elle a enterré la petite chose dans son jardin entre deux plants de tomates. Puis elle l'a oublié.

Plusieurs semaines plus tard, alors qu'elle avait oublié cette fâcheuse fausse couche, elle s'est fait réveiller en pleine nuit par des sons étranges provenant de son jardin. Elle est allée voir, puisqu'elle est de nature curieuse, et ce qu'elle vit la laissa sans voix. Un espèce de bébé de la taille d'un bambin d'un an environ était en train de se déterrer et d'arracher les plants de tomates. Elle n'osa pas sortir de chez elle et regarda toute la nuit la créature grogner et détruire son jardin.

Au lever du soleil, la créature retourna dans son trou, où mon amie avait enterré son fœtus. Les nuits suivantes, le même scénario se reproduisit inlassablement.

Le couvin

Après un certain temps, elle décida de demander de l'aide. La créature semblait souffrir et elle en avait le cœur brisé. Elle décida d'aller voir un prêtre qui refusa de répondre à ses questions. Sur internet, elle ne trouva rien qui ressemblait à ce qu'elle vivait. C'est sur un forum de discussion sur le paranormal qu'elle trouva de l'aide. Un homme l'aborda par message privé, lui indiquant qu'il avait déjà eu affaire à ce genre de situation. Il ne se nomma jamais mais lui proposa de venir chez elle observer le phénomène. Alors qu'elle pensait à un imposteur, souhaitant seulement vérifier ses dires, elle accepta. L'homme vint la nuit suivant leur étrange conversation afin de voir la créature en pleine action.
Il lui expliqua que cette chose était un Couvin, un démon provenant de son bébé avorté naturellement plusieurs semaines plus tôt. Il lui expliqua que pour faire partir la créature, elle devait lui donner un nom, le baptiser puis lui offrir des funérailles et une sépulture près de sa maison afin que son bébé la protège à jamais.
La nuit suivante, elle le fit. Elle nomma la chose Zoé et la baptisa. Elle dut prendre son bébé dans ses bras. Elle devait lui répéter mot à mot ce qui suit.
" Je te nomme Zoé, je t'accueille dans ma famille. Je te demande de me pardonner de ne pas avoir pu te donner la vie." Puis le bébé quitta la vie dans ses bras. Elle lui offrit donc des funérailles légères avec des fleurs et l'enterra près de sa maison, le tout en plantant une croix de bois à son nom sur le petit tas de terre.
Zoé n'est plus jamais revenue mais la vie de mon amie se métamorphosa en une vie remplie de chance et de bonheur...
J'écris ces mots ce soir car, depuis une heure, j'entends des grognements provenant de ma cour...

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