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2 mars 2018 5 02 /03 /mars /2018 08:08

Quand on parle de régime et de produit miracle pour perdre du poids, les avis sont mitigés. Et parfois plein de tabou et de préjuger. Voyons, est-ce que ça peut vraiment exister des trucs magiques qui nous font perdre du poids, qui transforme notre corps sans pratiquement rien faire?

J’ai étudié, j’ai regardé et j’ai lu. Les avis sont, oui ça marche, d’autre non, ça n’a pas donner l’effet voulu. Et beaucoup disent que c’est n’importe quoi, que c’est impossible.

Alors j’ai tenté le tout pour le tout, j’ai essayé les fameux produits.

It works. C’est ce que j’ai essayé.

D’abord je n’y croyais pas. Je me disais moi aussi que c’était n’importe quoi, que c’était impossible, qui n’y avait rien qui pouvait donner ce que les photos avant après montrait.

J’ai essayé quatre produits. Les greens, une poudre qu’on mélange a 250ml d’eau, la formule FF qu’on prend après le souper, le gel defining et les fameux wraps, une bande de produit qu’on colle sur notre ventre.

Les produits

Les greens servent à désintoxiquer le corp de l’acidité et des toxines qu’on peut prendre durant la journée. Ça à booster mon énergie et je me sentais mieux.

La formule FF est une petite pilule qui aide à absorber les glucides et métaboliser les glucides et les limpides (Ce qui veux dire que les glucides vont à la bonne place, c’est-à-dire dans l’énergie du corps. Les limpides sont des gras, et la formule aide à les envoyer au bon endroit, donc on oublie les grosses fesses, les gros ventres et tout ça, puisque grâce à la formule, tous vont au bon endroit et élimine ce qui est en trop).

Le gel defining, sert à éliminer l’apparence des vergetures, de la cellulite et des défauts du corps. J’ai vu un grand sur l’apparence de ma peau depuis que je l’utilise.

Et y’a les wraps, le truc magique. Il ne sert pas à perdre du poids (ça, c’est tout le reste), il ne sert qu’a raffermir la peau molle. Celle qu’on a quand on a des bébés, celle qu’on a quand on a perdu beaucoup de poids rapidement. Il ne sert qu’a ramener la peau à son endroit initial, il aide a raffermir le tour de taille. Il existe aussi en version faciale.

 

Mes résultats maintenant.

Avant, je portais des tailles 9 à 12 en guise de pantalon. Mes chandails étaient des larges et parfois même plus grand. Je n’ai pas ranger mes vêtements de maternité pour cacher tout ça.

J’ai perdu 10lbs (5 kg), en trois semaines en utilisant ses produits. Je porte maintenant des tailles 7. J’entre à nouveau dans mes chandails médium et même des petits. Je suis enfin plus à l’aise avec mon corps. J’ose un peu plus le montrer, je me sens mieux.

Mes résultats ont été super rapide. Dès le premier wrap, après une semaine de green et de formule, j’ai vu un énorme changement. Six pouces de tour de taille a fondu en douze heures. C’était fou!

Mes mensurations en date du 7 avril, était de : Hanches, 38 pouces. Taille, 40 pouces.

Aujourd’hui, le jour de mon quatrième wrap, elles sont de : Hanche, 36pouces, et taille, 34 pouces.

 

J’avoue ne pas avoir été assidue. Mes résultats auraient été plus flagrant encore j’imagine. Je ne peux pas faire d’exercice pour aider à ma perte de poids, j’ai un entorse lombaire qui me fait souffrir énormément. Je ne prends que It works. Je n’ai pas non plus changement mes habitudes alimentaires.

Donc, je crois que It works donne des résultats de fou qui mérite à être connue et essayer par tous ceux qui souhaite être bien dans leur corps.

 

Sur les réseaux sociaux, il y a des centaines de distributrices qui sont prête à vous aider a établir vos stratégies de perte de poids. Il y a aussi plusieurs façons de faire et de très beaux rabais. Il ne suffit que de demander.

Je suis disponible pour répondre a vos questions et vous guider, ne vous gênez pas pour venir me voir!

 

Je vous souhaite donc un très beau vendredi! Et une belle fin de semaine, le temps idéal pour commencer à mettre en place votre plan de perte de poids! Profitez du rabais, il n’y sera pas très longtemps !!

 

Dans le futur, je vais me tenir à carreau sur mon plan! Et je vais essayer deux nouveaux produits. Je vous donnerais mes résultats et mon opinion sur eux aussi!

 

Aller, a vos claviers, j’attends de vos nouvelles!

Parce que It works, ca marches!!!

 

Luna

 

P.S Ah oui, les produits It works, sont végétalien! Ils sont sans produits animals! Ils sont entièrement végétal!

 

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20 février 2017 1 20 /02 /février /2017 19:25

Jour 20 du deuxième mois

Je suis mère de cinq enfants, comme toute les mères parfois, j’aimerais des vacances. Une pause. Comme dans mère indigne le film, y’a des fois ou j’espérais avoir un accident ou je serais a l’hôpital quelque jours pour dormir et avoir une pause de repas et de ménage. Je les ai eut mes vacances, bien malgré moi je l’admet. Mon fils, celui qui est né au 29eme jour du premier mois 2017 est hospitalisé.  Mon bébé, ma fin de saga est malade. Nous approchons du 10eme jour d’hospitalisation. Je ne lai pas quitter, sauf une nuit, depuis. 

Je suis seule en permanence avec mon beau bébé si calme malgré la tempête. Si fort malgré ce qui lui arrive. Une si grande épreuve pour un si petit être humain.

Je les ai eut mes vacances de ménages, de repas et de conneries de mes plus vieux. Mais je remarque que je ne peux pas vivre sans eux. Que toute ma routine dans ma maison est ma raison de vivre. 

Je ne dort pas la nuit parce que c’est plus facile que le jour. Il n’y a pas de visite. Personne ne se promène dans le corridor. Il n’y a personne. Les enfants ne pleure pas la nuit. C’est calme. 

Dans le noir de ma chambre, je me languit du jour ou mon réveil sonnera de nouveau a 6 heures du matin pour me rappeler que mes enfants doivent manger et aller a l’école. Me lever avec le soleil au lieux de m’endormir avec lui. 

Je m’ennuie. 

J'ai regarder tous les films qu’il y as sur mon ordinateur. J'ai bercer mon bébé plus d’heure que je ne l'ai bercer durant ma grossesse. Je l'ai regarder s’éveiller et bouger plus de fois que je ne suis aller au toilette ces derniers 10jours, ou que je n’ai manger. 

J'ai aussi pu constater pour qui je suis importante. Qui ont pris trop de temps. Trop de temps pour venir me voir. Pour m’écouter parler. Pour me répondre et me parler. Et je ne sais pas comment leur montrer ma reconnaissance. 

Les murs jaunis de cette chambre ont vu mes crises de larmes. Ma déprime. Et même les mots écrit en rose sur le mur a coté de l’énorme berceau de mon fils ne me font rien. Ils ne valent rien dire maintenant a force de les avoir lut et relut. 

Je connais par cœur les machines, les heures et le nom des antibiotiques.  Je connais les employer et le personnels de l’hôpital, ainsi que leur quart de travail. 

J’ai l’impression parfois d’avoir plus d’importance pour ces gens inconnus que pour ceux pour qui ca devrait le plus compter. Ils sont plus attentif a mes crises de larme que ceux pour qui je devrais être importante. 

Je me demande encore pourquoi j’attends. Pourquoi j’espère que ca change. Je me demande pourquoi j’espère encore. Je ne devrais plus compter que sur moi-même et sur ceux qui ont répondu présent. 

J'ai hâte de revenir a la maison. De reprendre le cour de ma vie qui est sur pause le temps que mon petit Isaac se remettre. J'ai hâte de ramener son fils a son père. De serrer a nouveau ma petite chipie dans mes bras. D’écouter les histoires sans queue ni tête de mon petit Olivier. D’écouter Jack me parler de ses jeux vidéos. D’écouter Chrystal me raconter tous un tas de chose et me tanner parce qu'elle me suit partout. J'ai hâte de cuisiner a nouveau et de regarder mes enfants ne pas vouloir en manger. D’accueillir mon chat harcelant me demander des calins. De dormir dans les bras mon amoureux. 

Dix jours, ce n’est rien dans une année, mais pour moi maintenant, ca me parait une éternité.  

 

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30 janvier 2017 1 30 /01 /janvier /2017 18:58

Jour 30.


La fin d’une saga. 

On se le cachera pas, une grossesse c’est une aventure. Qu’on ai choisit de faire un bébé ou qu’il se soit pointer par surprise, on ne sait jamais à quoi s’attendre.  Certaine chanceuse apprendront leur grossesse tard par manque de symptôme et regarderont leur ventre grossir avec un sourire. Elles n’auront aucun symptôme de grossesse et seront éblouissante. Elles n’auront aucune douleur et aucune contractions, excepter le jour J ou elles compteront leur contractions avec le sourire en se disant que c’est ce jour là que ça passe.


Puis y’a celle que chaque gramme pris les rendront malheureuses. Elles regarderont leur ventre grossir en pleurant presque. Y’a celle qui par conte sauront qu’elles sont enceinte dès les premiers jours. Elles auront des infections, des poils qui pousseront à des endroits improbable  pour la gente féminine.  Elles auront des nausée, des vomissements, des masques horrible de grossesse plein le visage. La peau et les cheveux gras, des ongles cassant, elles vomiront, leur meilleur ami sera au choix entre la bolle de toilette et les antis acides qui souvent ne fonctionne pas. Elles auront des contractions et des douleurs partout dans le corps. Elles auront hâte d’accoucher pour dormir une nuit, ou quelque heure, sans être terrasser par la douleur. 
Y’a aussi celle qu’on oublie trop souvent. Celles qui ont des grossesses à risque, de jumeaux ou par d’autres problème de santé conséquent.  Celles la, viveront dans le stress jusqu’à la fin. Seront obliger d’être coucher ou même hospitaliser. Et souvent, finissent par accoucher pprématurésà côté de celles qui souffrait qui se sent maintenant coupable de s’être plaint et celle qui auront été éblouissante qui auront de la peine pour cette troisième gamme de maman. 
Toutes ces femmes visent le même but peu importe comment elles se sont rendus à ce stade. Elles veulent toutes être maman! Peu importe le prix du sacrifice sur leur corps. Toutes ces exemples sont présents dans notre entourage et souvent ces mamans n’en parle pas. Elles gardent tous pour elles! 


Pour moi, j’ai été dans un premier temps la maman éblouissante! La maman sereine! Puis ensuite, par 4 fois, j’ai été cette deuxième maman! Remplis de douleur du début à la fin! De symptôme qui s’éternisent dont personne ne comprenait l’ampleur.  J’ai été cette maman. 
Mais maintenant que mon cinquième petit monstre est né, je peux finalement mettre une croix sur le merveilleux phénomène de partager son corps avec un petit être.  Après 8mois d’essais pour le fabriquer, 8 mois d’échec dans mon cœur, 8 mois d’espoir, mon petit poux s’est enfin installer dans le creux de mon ventre pour y vivre 10mois et 1 jour très exactement.  
Sa naissance, bien qu’espérer et tant attendu fut sommes toute merveilleuse. Pour une deuxième fois, l’accouchement s’est déclencher d’elle-même.  Mon premier fils, ca s’est passer de façon spontané contrairement au 3 autres qui ont suivit ou on as dut aider la nature. 
Cette cinquième fois, bébé a choisit sa date. A choisit son moment. 


Le début s’est passer graduellement. La période de latence interminable prenait enfin fin avec des contractions beaucoup plus douloureuse. Puis dans la nuit, c’est devenu régulier.  On s’est présenter à notre lieux de naissance soit à la maison de naissance de Blainville vers 4h30 du matin. Le début du travail actif, donc douloureux, s’est présenter rapidement. Puis 3h30 plus tard, bébé Isaac était arriver. Non sans turbulence cependant. Du meconium dans mon liquide amniotique était visible. Ce genre de problème peut en entraîner d’autre chez le bébé qui parfois peut être dramatique.  On ma alors avertie des risques et des peut être.  Ensuite, le cœur de mon chéri à commencer à décélérer. Ce qui a bousculer mon accouchement qui jusque là était calme et tranquille. Ou je prenait chaque contraction dans le noir de ma tête.  Ou je les laissait m’envahit au son des voix de mes sages femmes, de ma belle mère, de mon amoureux et du son du cœur de mon bébé.  


Le drame à commencer, du moins dans ma tête, quand j’ai finalement compris que les positions dans lesquelles moi j’étais bien, mon petit bébé tant espérer, lui ne l’était pas. J’ai opter pour des position, un peu forcer je l’admet par mes sages femmes, ou lui était bien. J’ai sacrifier et mon corps et mon confort à ce moment la, pour lui. La décision d’être envoyer à l’hôpital a été prise, mais bébé Isaac à choisit ce moment pour dire « non, moi c’est ici que je naît » et je l’ai aider. En dix minutes, il était la, si petit dans ce grand monde, si léger aussi. 


Heureusement pour nous tous, et aussi malgré la panique qui m’avais envahit, il allait bien. Vigoureux et plein de vie, il venait de m’être fin à ma saga, ma saga de cinq grossesse, cinq attente, cinq accouchement tous différent les uns des autres. Et il comblait bien cette fin en était petit et léger, une autre aventure dont je ne connais rien. Ayant eut des gros bébés, je me retrouve avec un tout petit qui demande des choses bien différentes des autres. 
Ma saga terminer, j’en profite pour faire un adieu aux joies, pas si joyeuses pour moi, d’être enceinte. De sentir un petit être me déformer le ventre. De sentir mon corps changer et devenir une baleine pleine d’hormone qui pleure et qui est à cran tous le temps. Maintenant je peux me focaliser sur mon corps, le réparer après 10ans de maternité.  Et surtout, me concentrer sur mes enfants qui vont grandir et changer. 


Qui rempliront mon cœur d’amour.  


Qui me feront aussi oublier toute les souffrances que j’ai vécue. 
Mes cinq trésors sont merveilleux! Et il valent tous ce que j’ai traverser pour eux.


Je sais que l’aventure n’est pas terminer. Je sais que le reste ne fait que commencer. Qu’ils me feront pleurer, qu’ils feront en sorte que je vais m’inquiéter pour eux, mais surtout, que je vais être remplis d’amour, cinq fois plutôt qu’une, toute ma vie. 

À vous, Jack, Chrystal, Olivier, Alyssa et Isaac, je vous souhaite une vie remplie de bonheur. D’aventure comme les miennes, une vie remplie d’action, de joie, de victoire mais aussi de tristesse et d’échec qui vous rendront plus fort. 


Et surtout, n’oubliez jamais, je serais toujours derrière vous, fière comme paon de vous appeler mes enfants, mes bébés, mes monstres, ma vie. 


Maman.

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18 janvier 2017 3 18 /01 /janvier /2017 08:13

Jour 16 et 17.

Je me sens abandonné. C’est totalement comme ça que je me sens. Bébé ne veut pas sortir. Je me sens frustré de voir à quel point on attend la nature. Je sais fort bien que la vie est bien fait et qu’il sortira quand il sera prêt. Par conte, je ne dort plus. Ça fais dix-sept jours que je suis malade. Je veux me guérir mais je n’ai le droit de prendre aucun médicament pour éviter d’affecter la petite chose qui vie et me laboure les entrailles. J’en ai marre.  Comme bien d’autres femmes enceintes, j’imagine.  

Je pense par conte à celle qui n’ont pas le bonheur de porter la vie et à celle qui ont dut donner naissance prématurément et je me sens choyer de partager mon corps pour la cinquième fois. Malgré tous, je ne pense qu’au moment où je serais libérer de cette douleur. Ou les vagues vont s’arrêter. Même si je ne pourrais sans doute pas plus dormir une fois ce petit tannant au monde, je me dit que je serais sûrement plus reposer des quelque heure ou je pourrais dormir sans souffrir.  Sans me réveiller parce que je me tourne dans mon sommeil et que la douleur me laboure le corps tout entier. 

La vie est un chemin semer d’embûches que je dois surmonter. Chose que je tente de faire de mon mieux. Je voudrais parfois que la vie soit plus facile mais si elle l’est, comment pourrais je vivre normalement ? J’ai l’impression de m’être battue chaque jour durant lesquels j’ai exister et qu’une vie sans bataille serait trop anodine et ennuyante. J'ai l’impression d’avoir besoin de ces éternels combats, même si ce n’est que d’imaginer un souper original avec ce qui me reste dans mon garde manger le jour avant l’épicerie.  

Jai l’impression de ne pas profiter de ce que j’ai.  De revenir au moment de mon adolescence ou j’attendais.  Ou j’attendais d’être suffisamment grande pour être libre, libérer des chaînes parentales. Je voudrais pouvoir retourner à cette époque.  Je ne me sens pas comme une adulte. Je me sens comme une enfant gâtée qui attend le cadeau qu’elle avait tant voulue et qui n’arrive jamais. Je sais pourtant ce que c’est d’être déçue.  Je sais ce que c’est que d’attendre que quelqu’un t’offre tes rêves sur un plateau d’argent sans que tu n’aille aucun effort à faire. Ce n’est pas moi de me fier sur quelqu’un.  Jai toujours sut me débrouiller par moi-même. Me retourner sur une dixième de seconde quand un problème survient. De toujours faire au mieux pour ceux qui dépendent de moi. Pour ceux qui profite de moi, aussi. 

Je me souvient de la petite fille pour qui on avait pitié, il y a, quoi, 14ans déjà? Je me souvient aussi avoir attendu que tous ces gens qui avait pitié de moi, qui disait sur mon passage « pauvre petite chatte, comment va t’elle faire toute seule? » et qui pourtant n’a jamais téléphoner.  N’est jamais venu. N’a jamais rien fait. Ils ont continuer leur vie paisiblement pendant que j’attendais qu’on m’aide. C’est a ce moment la que la petite fille a cesser d’espérer, à cesser d’attendre et à commencer à faire ces propres choix. A diriger son propre destin sans avoir les ressources nécessaires. Sans avoir d’exemple aussi. 

J’ai fait bon nombre d’erreur qui m’ont coûter cher. J'ai mis au monde des enfants sans y être prête.  Et ça aussi, ça m’a coûter cher. J’ai payer le prix. Des commentaires, des regards. Des jugements de gens qui pourtant avait pitié de moi quand j’avais besoin d’aide.  Quand j’étais toute disposée à écouter.  A la place de ca, j’ai choisit une vie qui n’était pas celle à laquelle j’avais rêver. Je voulais tellement plus. Aller à mon bal de finissant. Avoir une carrière.  Ces femmes en tailleur et talons hauts.  Maquillé et bien peigner qui se promène avec des malettes parce qu’elles sont importante pour la société commune.  

A la place de ca, j’ai changer des couches de défécation, d’urine et je me suis fait vomir dessus je ne sais combien de fois. Jai passer plus d’heure debout la nuit à bercer des bébés en colique que j’en aurais passer adolescente à boire de l’alcool interdit. J’ai cuisiner des repas, suivit des cours pour en cuisiner des nouveaux. Jai attendu des jours entier à l’urgence des hôpitaux à nettoyer du vomit avec du papier brun qui n'absorbe pas. J’ai passer des heures à veiller mes enfants au joues rouge de fièvre.  A apprendre par cœur des berceuses et à les chanter à ces petites choses à laquelle je tiens le plus au monde durant qu’ils percent leur dent.  Jai même un coffre avec leur dent de lait, celle qui n’ont pas avaler, dans mon coffre à bijoux, à côté de ceux qu’ils mont briser. Jai toujours les cheveux attacher, la coiffure typiquement maman. Je ne me maquille presque plus. Je porte souvent les mêmes chandails et les même pantalons parce que je lave leur vêtements avant les miens et ce même si ils sont plein de morve ou de sang sécher de leur dernière chute. 

Est-ce que j’ai rater ma vie? Est-ce que j’ai gâcher ma vie comme certain se permette de me dire? Si vous demander à la petite fille qui attendais il y a quinze ans, elle vous dirais oui. Qu’elle ne serait jamais rendu la parce qu’elle n’aimes pas les enfants. Et pourtant, si vous me le demander à moi, je vous dirais que j’ai créer cinq merveilles du monde, même si l’une d’elle tarde à venir me voir, je vous dirais que non. Que j’aime ma vie et que je ne changerais rien. 

Pourtant, je rêve encore de cette petite femme en tailleur, les cheveux lissé et parfait, maquiller et qui conduit une superbe voiture avec sa malette de papier important sur le banc passager. Je rêve de cette femme qui se prend un repas facile parce qu’elle n’aura pas appris à cuisiner et qui rentre chez elle ou personne ne l’attend pour manger sur le coin d’une table. Qui regarde des feuilletons pourris à la télévision et qui termine la soirée dans un bain moussant une coupe de vin rouge que je n’aime pas à la main. 

Je sais que je serais bien mais en même temps, m’enlever tous ce que j’ai aujourd’hui pour ca, je serais malheureuse. Je n’aimerais pas. Je ne serais pas bien. 

Je me sens abandonner, même par moi. Même par la petite fille de quinze ans qui avait un tous autre avenir dans la tête.  

Je suis pourtant prête à nettoyer une nouvelle fois du caca coller sur une toute petite paire de fesse! Je suis prête à me faire vomir dessus encore. A passer des nuits à regarder les heures passer en berçant un petit bébé qui ne dort que dans mes bras. A regarder le soleil teinté le ciel de rose, de rouge et de orange. A m’inquiéter encore. A rajouter d’autre année avant de les regarder fièrement quitter ma maison.

Je suis prête.  Aller vient bébé, arrête de me faire languir.

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19 avril 2016 2 19 /04 /avril /2016 19:12
Des femmes nourrie d'espoir.

Je suis une maman, une maman de quatre petites merveilles, qui remplissent ma vie de couleur, de joie, de je t'aime et de tous le reste qui est beaucoup moins mignon.

Quand j'ai appris qu'un bébé m'avait choisit comme maman la première fois, j'étais perturber entre plusieurs penser. J'avais 18ans, je ne savais pas ce qu'était un bébé, ma maman était décédée depuis a peu près deux ans. J'ignorais si j'étais capable d'être une maman. J'ai penser avorté, pour le bien de mon bébé, je me disais que je ne serais pas une bonne maman, que ce bébé méritais une meilleure maman. Puis, penser a tuer un bébé, ce petit être qui grandissait dans mon ventre, je ne pouvais pas. J'en était tous simplement incapable. J'ai pris rendez vous chez le gynécologue. La bas, l'infirmière ma parler de contraception, d'avortement, d'adoption... J'ai dit non a l'avortement, mais rien a l'adoption. Finalement, c'était peut-être pas mauvais comme idée.


Puis, cette même journée, j'ai entendu son coeur. J'ai pleurer. Maintenant, j'en était persuader, je ferais tous ce que je pourrais pour que ce bébé la soit heureux, et deviennent quelqu'un de bien, et l'envoyer ailleurs, ne plus savoir ou il est, le donner a quelqu'un d'autre, était hors de question.


Puis a bébé 2, quand j'ai appris que j'avais été une seconde fois choisit pour être maman, j'était tous a fait heureuse! En toute franchise, j'avais tous fait pour ça! Ce bébé la, était mon souhait, ce que je voulais et je l'ai eut.


Puis vient, bébé ange. Celui la, aussi je le voulais, je l'avais espérer, je l'avais voulu. Ça avait pris environ 6mois avant qu'il se décide a s'installer dans mon ventre. J'étais contente, zen, tranquille. J'avais arrêter de fumer, je mangeais sainement, je faisait tous ce que je pouvais pour me garder en santé, moi et ce bébé la. Mais la vie a décider que je ne serais pas maman de cet ange la. Elle me la repris alors qu'il avait a peine terminer sa formation globale. Nous avons partager mon corps pendant 14semaines. J'ai été blesser, même si je ne le disait pas. Autour de moi, il y avait des histoires plus horrible que la mienne. Des bébés morts nés, des fausses couches beaucoup plus tardivement que la mienne.. Donc j'ai fait la fille que ça ne dérange pas. La fille qui se dit en toute positivité "Bah, si il est parti, c'est qu'il était pas dut, il était malade... " Mais au fond, ça ma fait de la peine. A la salle de réveil, c'est l’infirmière qui ma consoler pendant que les sanglots me secouait. Et les larmes n'ont pas cesser de couler après pendant plusieurs heures. Jusqu’à ce que mon frère et mon père viennent rompre ma solitude... J'ai été toute seule a l’hôpital a vivre ce moment la... Toute seule a pleurer dans la lumière tamiser du soir de l'aile des hospitalisations d'un jour.


Puis vient bébé 3, lui aussi je l'ai voulu. Encore un six mois d'attente avant qu'il ne fasse son nid dans mon ventre. Ce bébé la, m'en as fait voir de toute les couleurs, ma fait souffrir. Je n'ai pas parler de ma grossesse avant longtemps, la peur de bébé ange me terrorisait. Je ne voulais pas revivre ça. Je suis resté silencieuse sans parler de ma joie intérieur qui m'habitais. Puis le cap du 14 semaines passé, je l'ai dit a tout le monde. Mais après trois bébés, ce n'est plus le fun un bébé, on s'en fou. Ma grossesse, je l'ai vécu toute seule, dans ma tête et je ne l'ai pas partager avec beaucoup de personne. Mon accouchement, je l'ai vécue seule, la pousser, le papa était la. C'était tous, juste ça. Une chance que j'ai eut mon accompagnante de naissance, sinon, je ne pense que j'aurais réussi a accoucher un bébé de 9lbs, sans péridurale, toute seule et sans soutiens.


Ensuite, est venu mon bébé 4. Ma petite princesse. Cette grossesse la, j'ai été entourer dès les premières semaines. C'était une petite fille attendu, et tout le monde avait hâte de la voir. Mon accouchement, en maison de naissance (dont je raconte la naissance dans un autre article de mon blog) a été paisible. Entourer des personnes qui attendait si impatiemment ma petite princesse. La plus belle de toute les naissances.


Vouloir un cinquième bébé, attendre 8mois, c'est long. Surtout qu'a peu près a chaque fois, j'avais ce que je voulais quand je le voulais, j'avais mes bébés. La, j'ai l'impression que c'est interminable comme attente et en même temps...


Je suis sur un groupe de femme qui espère toute tomber enceinte. Certaine ont des enfants d'autre non. Et je me sens égoïste. Je me sens mal. J'ai déjà quatre enfant et je me démoralise. A chaque fois que mes règles se pointe, j'ai peur de leur dire. J'ai pas envie de leur dire. J'ai pas envie de leur cassé les oreilles avec mes espoirs de cinquième bébé, elles qui n'ont pas eut la chance d'être choisit. Oui, elles l'ont été, mais la vie leur a tous repris leur petit. Pourquoi moi, qui peut enfanter et qui la déjà fait, j'irais leur rabattre les oreilles avec mes histoires? Je me sens mal, mal a l'aise, triste et tant d'émotion que de simple mot ne peuvent le décrire.

J'aimerais que toutes ces femmes merveilleuse puisse avoir la chance que j'ai. Parfois, je suis impatiente et je savoure mes moments de solitude. Et chaque fois que je me fâche a cause de mes enfants et que je les chicanes, je pense a elles. Elles qui rêveraient d'être a ma place et encore une fois, la culpabilité me frappe de plein fouets. De quel droit je me plaint? De quel droit j'espère ce cinquième bébé si ardemment? De quel droit je m'impatiente sur ces petites merveilles que j'ai eut la chance de créer? Qui me regarde avec leur yeux brillant, qui m'appelle maman et qui parfois, gratuitement, me disent "je t'aime", "Tu est belle maman!"


De quel droit oserais-je leur parler de tous ça? Elles qui vivent les pires émotions du monde, les pires souffrances, les pires déceptions?


La vie, autant belle soit t'elle, autant peut t'elle être un véritable supplice...


J'espère tous de même, je me réjouit réellement pour elles quand elles ont des ++++++, je ne suis pas jalouse! J'espère qu'un jour ce sera mon tour. J'espère qu'elles pourront toute vivre la joie de voir un petit être au yeux brillant d'amour courir vers elle les bras tendue. J'espère sincèrement, de tout mon coeur qu'un jour, elles pourront, elles aussi, entendre:


"Je t'aime maman!"

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 10:52

J’avais 18ans, J’étais une jeune femme enceinte dans une ville que je ne connaissais pas et ou je ne connaissais personne. Le seul point de repère que je connaissais était les halles de richelieu ou j’y ai découvert les chevaliers d’émeraude (mais ça, c’est une autre histoire), dans une librairie qui n’existe plus aujourd’hui. On m’a gentiment dirigé vers jeune mère en action. J’y ai été accueilli la bas à bras ouvert. Les intervenantes toujours heureuse d’ouvrir la porte a une nouvelle maman, m’ont souris et traiter comme une mère. C’était quelque chose qui n’avait jamais été dans mon quotidien. Pour mon entourage, je n’étais qu’une enfant qui avait eu un bébé. Loin d’être mature, selon eux, et incapable de m’occuper de mon fils. A jeune mère en action, j’ai pu y comprendre mon rôle, découvrir différentes activités, auxquelles je n’aurais jamais pensé, à faire avec mon bébé tout neuf. Mon fils, qui était tous bébé, y a grandit, y a découvert de nombreuses choses, comme le partage et jouer avec des amis. Moi, je m’y suis fait des amis, j’ai pu toucher au scrapbooking que je ne connaissais pas. J’ai découvert d’autre organisme du coin dont je parlerais dans un autre organisme. J’ai découvert le plaisir d’être maman.

Je suis retourné a jeune mère en action près de 6ans plus tard, on ma accueillit de nouveau à bras ouvert, j’y ai retrouvé mes repères, mes enfants y était bien et je me suis fait de nouveaux amis. Jeune mère en action est devenue une seconde maison pour moi. J’y étais pratiquement tous les jours. Autant pour m’évader de mon quotidien, de ma routine, autant pour y voir mes amies, et surtout, me sentir importante, bien encrer au sein de ma communauté. Un réseau remplit de compréhension et d’amour, c’est ce qu’est Jeune mère en action. Les intervenantes de l’organisme ont toujours été présentes pour moi. Même à 22h le soir sur facebook, même six mois plus tard alors que j’habite à l’autre bout du monde.

Jeune mère en action est un incontournable en matière d’organisme pour jeune mère a st-Jean sur richelieu. Elles ont une foule d’évènement et d’activité pour plaire à toute. Des sujets aborder au plus futile jusqu’au plus sérieux. (J’y ai découvert la politique qui m’aide encore aujourd’hui), et même au plus drôle avec des ateliers sur le sexe!

Les activités que j’y est découvert est une liste assez grandes. Je vous en fais une exhaustives.

- Le calendrier d’activité de l’avent (Que je partage à mes amies)

- Le scrapbooking

- Les smooties de Malorie (Que j’adore et dont je me nourris durant mes grossesses)

- Un brin de jasette

Et j’en passe! (Ce matin avec mon nombre limité d’heure de sommeil, mon cerveau est encore sur mon oreiller! Quatre enfants qui décident de ne pas dormir pendant la nuit… Ça donne une maman zombie nourrie au café et à la pizza de Nutella raté qui on disparut!)

Sincèrement, je recommande à toutes les mamans de mon entourage qui vivent à st-jean sur richelieu d’aller faire un tour sur la rue laurier.

Pour plus d’information sur l’organisme, visitez leur site web.

Et appelez!

450-348-4330

Merci de me lire et a très bientôt!

Luna.

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 10:52
Coup d’œil dans la communauté 1 : Jeune mère en action

J’avais 18ans, J’étais une jeune femme enceinte dans une ville que je ne connaissais pas et ou je ne connaissais personne. Le seul point de repère que je connaissais était les halles de richelieu ou j’y ai découvert les chevaliers d’émeraude (mais ça, c’est une autre histoire), dans une librairie qui n’existe plus aujourd’hui. On m’a gentiment dirigé vers jeune mère en action. J’y ai été accueilli la bas à bras ouvert. Les intervenantes toujours heureuse d’ouvrir la porte a une nouvelle maman, m’ont souris et traiter comme une mère. C’était quelque chose qui n’avait jamais été dans mon quotidien. Pour mon entourage, je n’étais qu’une enfant qui avait eu un bébé. Loin d’être mature, selon eux, et incapable de m’occuper de mon fils. A jeune mère en action, j’ai pu y comprendre mon rôle, découvrir différentes activités, auxquelles je n’aurais jamais pensé, à faire avec mon bébé tout neuf. Mon fils, qui était tous bébé, y a grandit, y a découvert de nombreuses choses, comme le partage et jouer avec des amis. Moi, je m’y suis fait des amis, j’ai pu toucher au scrapbooking que je ne connaissais pas. J’ai découvert d’autre organisme du coin dont je parlerais dans un autre organisme. J’ai découvert le plaisir d’être maman.

Je suis retourné a jeune mère en action près de 6ans plus tard, on ma accueillit de nouveau à bras ouvert, j’y ai retrouvé mes repères, mes enfants y était bien et je me suis fait de nouveaux amis. Jeune mère en action est devenue une seconde maison pour moi. J’y étais pratiquement tous les jours. Autant pour m’évader de mon quotidien, de ma routine, autant pour y voir mes amies, et surtout, me sentir importante, bien encrer au sein de ma communauté. Un réseau remplit de compréhension et d’amour, c’est ce qu’est Jeune mère en action. Les intervenantes de l’organisme ont toujours été présentes pour moi. Même à 22h le soir sur facebook, même six mois plus tard alors que j’habite à l’autre bout du monde.

Jeune mère en action est un incontournable en matière d’organisme pour jeune mère a st-Jean sur richelieu. Elles ont une foule d’évènement et d’activité pour plaire à toute. Des sujets aborder au plus futile jusqu’au plus sérieux. (J’y ai découvert la politique qui m’aide encore aujourd’hui), et même au plus drôle avec des ateliers sur le sexe!

Les activités que j’y est découvert est une liste assez grandes. Je vous en fais une exhaustives.

- Le calendrier d’activité de l’avent (Que je partage à mes amies)

- Le scrapbooking

- Les smooties de Malorie (Que j’adore et dont je me nourris durant mes grossesses)

- Un brin de jasette

Et j’en passe! (Ce matin avec mon nombre limité d’heure de sommeil, mon cerveau est encore sur mon oreiller! Quatre enfants qui décident de ne pas dormir pendant la nuit… Ça donne une maman zombie nourrie au café et à la pizza de Nutella raté qui on disparut!)

Sincèrement, je recommande à toutes les mamans de mon entourage qui vivent à st-jean sur richelieu d’aller faire un tour sur la rue laurier.

Pour plus d’information sur l’organisme, visitez leur site web.

Et appelez!

450-348-4330

Merci de me lire et a très bientôt!

Luna.

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2 septembre 2015 3 02 /09 /septembre /2015 15:44
Divers 1: Chasseur de fantômes

A l’aube de l’époque où les gens sont de plus en plus ouvert d’esprit, de plus en plus de personne se penche sur le paranormal. Que ce soit les extra-terrestres, les fantômes, ou tout autre chose. Même si depuis la nuit des temps les fantômes sont un sujet présent, bien que parfois nier, sont toujours à la mode aujourd’hui. Ce que je vous propose dans cet article, est de vous parler de l’un de mes chasseurs de fantômes préférer, voir même le seul.

Il s’agit de GussDx (je vous mets au bas de mon article, le lien de sa chaine Youtube). C’est un Français d’une quarantaine d’année qui a d’abord fait des vidéo sur minecraft (qui sont excellents), s’est mis a la chasse au fantômes. Tous simplement parce que ça a toujours était un sujet qui le fascinait.

Guss, de son vrai prénom, Guillaume, pars seul accompagner de camera et de divers objets dans des lieux dont les rumeurs disent qu’ils sont hantés. Guss nous propose une visite de jour, puis y passe la nuit a interpeller les fantômes, les esprits ou peu importe ce qui peut lui répondre. Le but de ses enquêtes est de comprendre ce qui se passe après la mort, ce qu’il y as, ce qu’on devient. Chacun de ses vidéos qui varie de 60 minutes a deux heures est suivit d’un Vlog, ou il fait le retour sur ce qui s’est passé, répond au nombreux commentaire qu’il reçoit ainsi de nous annoncer ses prochaines enquêtes.

Ce qui me plait de le regarder, c’est qu’il nous fait découvrir des lieux qui me font rêver, que j’aimerais aller visiter. Il a le don de nous les présenter dans toute leur beauté, autant par ses plans de vu silencieux ou tout simplement quand il nous fait visiter chaque pièce, chaque endroit, chaque recoin un peu sombre. Ensuite vient le soir, ou tous est plongé dans le noir, même lui. On y voit quelque chose que par ses cameras infra-rouge ou grâce à ses lampes torches. Des endroits lugubres où je n’oserais pas allé seule.

Il as le courage d'interpeler des choses qui pourrait le blesser, d'aller dans des lieux qui sont parfois des décombres, des endroits dévasté par le temps ou rien n'est sécuritaire. Il y va pour lui, pour nous. Il est pour moi, quelqu'un d'exceptionnellement courageux!

Mais Guss a le courage d’y aller et d’appeler des fantômes. Parfois, il a des réponses, parfois ce sont les sons de la nuit qui lui répondent. Dans les deux cas, je suis terrorisée. Même que parfois, j’en ai eu du mal à dormir. A chaque fois qu’il sort un épisode de chasseur de fantômes, je suis impatiente de le regarder jusqu’à ce que je puisse le faire. Mon copain et moi le suivons depuis le tout premier épisode, c’est devenu tradition entre nous, notre tradition Guss!!

Guss est quelqu’un de charmant à regarder et de plaisant à écouter.

Je vous recommande donc d’aller le regarder si les chasses au fantômes vous intéresse!

Il y a 6 épisodes dans la première saison et 3 sont sortis de sa deuxième saison.

Ils sont en location sur Vimeo au cout de 2.30$ canadien.

Et gratuit ensuite sur youtube.

J’espère que vous allez bien!

Luna

Xxx

Chaine de Chasseur de fantomes

Chaine Minecraft

Son Facebook

Son vimeo

P.s A toi Guss, si jamais j'ai la chance de ma rendre a toi.

Merci pour tout ce que tu fais.

Merci pour tes vidéos et ton courage!

Ton dernier épisode (Tanais nuit 2-3 et 4) était fabuleux!

J'ai très hâte de voir ton Vlog! :)

(Copyright: GussDx: La photo lui appartiens!)

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30 août 2015 7 30 /08 /août /2015 10:45
Maternité 1 : Allaitement Vs Biberon

Pour commencer, je dois dire que je ne suis ni pour l’allaitement, ni contre l’allaitement, ni pour les biberons, ni contre les biberons. Je suis dans ce qu’on appelle, la zone grise.

Un peu d’histoire.

Après recherche, j’ai trouvé qu’au temps de l’antiquité, soit l’époque de Jules César, l’allaitement était proscrit. On donnait au bébé du miel tiède et du lait de chèvre. Ils soutenaient que le colostrum était un poison (cette idée à voyager à travers les époques et une partie du monde) et la femme devait attendre 20 jours avant de donner le sein à son bébé, de quoi détruire une production laitière d’un coup.

A Rome, il existait même des forums ou les femmes allaitante allaient et allaitait les bébés des autres moyennant une somme d’argent. Puis un peu plus tard, les bébés était nourris par des nourrices. Ils pensaient aussi que le lait maternel transmettait les traits de caractère de la personne qui nourrissait le bébé, ainsi que tous ses vices. Les nourrices étaient donc choisit sur le volet pour leur intelligence. Les esclaves n’avaient donc pas le droit d’allaiter un bébé.

Plus tard, les mamans envoyait les bébés a la campagne ou ils étaient allaiter par des femmes pauvres qui avait souvent plusieurs bébés à nourrir, tout en abandonnant leur bébés a d’autre. C’était l’époque où il y avait plus de mort infantile que toute autre époque. Les bébés subissait le transport jusqu’à la campagne ou souvent, ils ne survivaient pas. Avec en plus le non allaitement d’un bébé en bas de 20jours.

A toutes ces époques, les bébés étaient vite nourris de soupe et de bouillie, ce qui causait aussi leur mort.

Ensuite vient le temps des tires lait. D’abord avec des ventouses tremper dans l’eau bouillante, puis administrer sur le sein de la femme ou l’on pompait le lait. Plus tard, les tires laits avec réservoir fut inventé.

A toutes ces époques, les femmes vivaient les engorgements et tous les troubles qui vont avec.

Ensuite vient les corsets, ou les femmes avaient les seins écraser, les empêchant d’allaiter. A ce moment, l’allaitement était un peu mis en avant, mais les femmes ne pouvaient pas le faire. Il y existait alors les tires lait ventouses, des téteurs professionnels…!?!?

A toutes ses époques, il y avait le lait animal donné à tous les bébés, qu’importe s’ils étaient allaités par maman, une nourrice ou un esclave. Vache, chèvre, qu’importe. L’élevage des animaux femelle n’existait pratiquement que pour ça.

A certaine époque, l’allaitement était même interdit! Ils devaient trouver des alternatives. Le lait maternel était un poison, tant pour le colostrum que pour le reste. Le reste étant, du sang ! C’est ce que les médecins de ces époques disaient. Le lait maternel était du sang et nourrir un bébé avec ce lait, était de le rendre cannibale!

Ils disaient aussi qu’allaiter faisait en sorte que les règles reviennent plus vite, puisque la femme saignait, le sang allait aux mamelles (ainsi nommé dans le texte que j’ai lu) et nourrissait le bébé de cette façon. Les bébés étaient alors entièrement nourris de soupe et de bouillies!! Ils disaient aussi que vu que la femme avait ses règles plus vite, ça ferait en sorte qu’elle tombe enceinte plus vite et le nouveau bébé rendait l’allaitement impossible! (La femme était obliger de coucher très tôt après la naissance, qu’importe si elle saignait, était déchirer ou quoi que ce soit. La femme, qu’importe l’époque, était obliger d’obéir à son homme, peu importe ce qu’il choisissait de faire!! Ça vous donne une idée de comment on était traité. Non seulement on n’avait pas le droit d’allaiter nos bébés, ni de les élever (sauf si on était pauvre), on se devait d’obéir à notre mari!)

Puis vient le temps ou les femmes ont acquis le pouvoir d’être égale à l’homme, ça ne fais pas si longtemps de cette époque. Le lait maternel, alors démystifier, était reconnu et recommander. (Que s’est-il passé entre les deux??) Il y avait même une prime à l’allaitement! Les garderies étaient près du travail de la femme et la femme pouvait aller allaiter sitôt que la garderie appelait! C’était le bon temps!

Ça, c’est l’histoire globale que j’ai retenu! J’ai probablement oublié certaine chose. Mais les faits écrit, je les ai vérifiés! Je n’ai pas mis les dates, parce que je ne les retiens jamais! Ça part de Jules César au 19 eme siècle!

Au travers tout ça, qui était le mieux traité? Le bébé? La mère? Ou était le lien d’attachement? Ou était la remise en forme de la mère? Ou était le bien être de la mère?

C’est atrocement inhumain selon moi!

Bref, de nos jours, nous avons le choix, choix qui parfois n’est pas un choix. Les pros allaitement, pour tous ce que j’ai mentionné ci haut, seront scandaliser! (je le suis aussi!) les pros biberons, probablement aussi! Toutes les mamans le seront!

Maintenant, mon opinion sur l’allaitement, et les propos des pros allaitement!

L’allaitement est ce qui a de mieux, mais les biberons ne sont pas mauvais non plus!

Arrêtez de bourrer le crane des futures mères sur les bien fait de l’allaitement. Si jamais l’allaitement ne marche pas, faut t’il laisser nos bébés mourir? Même les hommes des cavernes avaient trouvé l’alternative animal pour sauver leur bébés (je vous réfère au film : Abo, le dernier homme Neandertal). Il faut savoir que pour que l’allaitement fonctionne, il faut bien se nourrir, bien dormir, bien hydrater, ne pas être stresser et ne pas fumer la cigarette! Si tout ça, n’est pas optimiser, l’allaitement ne marchera pas! (venez pas me parler des africaines qui arrive à allaiter en ne mangeant rien! Ça marche pour elles!! Tant mieux!) Il faut parler des biberons, des préparations, de comment les faire, juste au cas où l’allaitement ne marche pas.

Je me rappelle de moi, 19ans, avec mon premier rejeton dans les bras, a me détruire a essayer d’allaiter. J’ai enduré 3mois d’enfer. Allaiter 24h sur 24, (vraiment sans arrêt) avec un bébé qui hurle de faim, qui se débat, mais qui malgré tout prenait bien le sein. Ca me faisait mal, je saignais. Je devais tirer mon lait avant d’allaiter, à chaque fois, parce qu’il n’y avait que du sang qui sortait!! Imaginez ma souffrance.

Et j’ai enduré ca pourquoi? Parce que je voulais le meilleur pour mon bébé, parce qu’on m’avait dit qu’il n’y avait que les mauvaises mères qui donnait le biberon.

Mon fils perdait du poids, avait faim, hurlait, ne dormait pratiquement pas. Je ne mangeais pas, je ne buvais pas, je ne dormais pas. Et je n’avais aucune production laitière! Rien!!

J’ai cessé d’allaiter! Et mon fils a repris du mieux, s’est développer normalement et est maintenant en parfaite santé!

Est-ce mieux tout ça? Mieux que le biberon?

Dans mon livre à moi, le biberon a été la meilleure des choses.

Puis j’ai eu trois autres enfants.

A ma deuxième, l’expérience du premier était trop fraiche dans ma tête pour que j’essaie. Je ne l’ai allaitée que deux heures a sa naissance, et j’ai arrêté.

A mon troisième, je n’ai même pas eut trois gouttes de lait a lui donner!

A ma quatrième, j’ai réussis deux semaines, et ce fut terriblement dur.

Suis-je une mauvaise mère parce que je les ai nourris tous les quatre avec de la préparation?

Est-ce qu’ils ne sont tous pas attaché à moi parce que je ne les ai pas allaiter?

J’ose espérer que la réponse est non!

Mon conseil alors, a toute les nouvelles mamans, a toutes les mères qui donner des conseils aux nouvelles mamans! Si vous souhaitez allaiter, allez s’y! Documentez-vous, autant sur l’allaitement que sur les préparations! Et si l’allaitement ne marche pas, svp, ne vous dite pas que vous avez échoué, que vous êtes poches!

Nous sommes merveilleuses!

Nous savons donner la vie, peu importe la façon dont on le fait.

Nous savons élever nos enfants aux mieux de nos capacités!

Nous sommes simplement maman!

Et nous le resteront à tous jamais!

Je vous aime toutes!

Je vous souhaite une très belle journée!

Luna!

Xxx

Référence

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27 août 2015 4 27 /08 /août /2015 16:48
Tranche de vie 4: Je vais te protéger autant que je le peux

La rentrée scolaire est toujours un moment très émotif pour moi. Je pleure chaque année dans la cour d’école alors que mes petits me quittent pour un nouveau monde. Je pleure chaque fois pendant au moins une semaine, quand l’autobus vient les chercher. Ca va trop vite.

Mon grand commence sa quatrième année, ma poupée commence sa maternelle et mon camionneur, la garderie. Tout ça, la même journée. De quoi donner au cœur de maman, un grand coup de larme.

La rentrée est pour moi un moment de plaisir. J’ai toujours aimé l’école étant petite, surtout la rentrée, et j’ose espérer que mes enfants aiment ça aussi. Alors je fais de cette partie de l’année du plaisir. On identifie tous le matériel ensemble, on prépare leur vêtement d’avance pour la première journée. On prépare tout ça, comme si ils allaient à un mariage!

Le lendemain matin, ils sont souvent trop énerver pour manger et je dois pousser un peu pour que l’appétit arrive, mais en général, ils ont toujours faim en se levant.

Cette année, c’est une nouvelle école, une toute petite école ou ils se côtoieront pratiquement tous les jours. La professeur de maternelle de ma fille est une amour, centré sur les émotions et la résolution de conflits. Ce qui aidera ma fille à grandir puissance mille! J’ai hâte de voir l’évolution en elle durant cette belle année qui s’annonce!

Et le mieux la dedans, c’est qu’elle ne sera pas seule!

Son grand frère lui a promis de la protéger des autres, lui a promis de s’assoir dans l’autobus avec elle, de jouer avec elle a la récréation et sur l’heure du diner, de manger avec elle! Il lui a dit, mot à mot : Je vais te protéger autant que je le peux!

Petit homme!

Comment se passe votre rentrée scolaire?

Moi je suis fébrile comme une petite fille!!!

A bientôt!

Luna

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